Stoffel Vandoorne: « Finir dans le top 5, ce serait très bien »

Circuit International Vincent Marique

C’est ce week-end que Stoffel Vandoorne dispute le dernier meeting de son programme japonais. Sur le circuit de Suzuka où il a brillé lors de la première course, le représentant du RACB National Team en Super Formula espère grappiller l’une ou l’autre position au classement final du championnat dont il occupe pour l’instant la 6e place.

Stoffel Vandoorne ne sera pas dans le box McLaren à Mexico, ce week-end. Et pour cause: le jeune Belge est reparti au Japon où se déroule, en même temps, l’ultime confrontation du championnat de Super Formula. «Le voyage entre Austin et Tokyo m’a fait encaisser 14 heures de décalage», remarque Stoffel. «Heureusement, je commence à être habitué à ce genre de gymnastique

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Notre compatriote débarque sur une piste qu’il connaît et apprécie beaucoup: Suzuka. Comme il en a pris l’habitude ces dernières années, Vandoorne a brillé d’emblée dans une monoplace qu’il découvrait en avril dernier. Lors de cette première confrontation, il a signé le 4e temps des qualifications et a terminé sur la dernière marche du podium en course.

«On va essayer de faire la même chose ce week-end», sourit le futur équipier de Fernando Alonso en Formule 1. «Comme à chaque fois, les qualifications seront particulièrement importantes. A Suzuka comme ailleurs, les dépassements seront rares. D’où la nécessité de s’élancer depuis l’une des premières lignes. Mathématiquement, je peux encore être champion mais il faudrait que le leader actuel (Yuhi Sekiguchi, NDLR) connaisse un week-end noir et moi une réussite totale pour que je puisse le devancer. Avant d’entamer les débats, j’occupe la 6e place, ex æquo avec le 5e. J’aimerais évidemment terminer sur une bonne note. Si je me classe dans le top 5 final, je serai ravi.»

Ce dernier meeting offre un découpage particulier. Si les qualifications ont lieu le samedi, comme d’habitude, la journée de dimanche est divisée en deux courses. D’abord un sprint de 19 tours sans obligation de changer les pneus puis une épreuve longue de 35 révolutions où il faudra obligatoirement passer par les stands pour y chausser de nouvelles gommes.