Mazda révèle son CX-5 de 2e génération au Los Angeles Auto Show. Une évolution plus qu’une révolution pour ce modèle il est vrai très réussi et pour lequel il était interdit de “se planter” : il est le modèle le plus vendu de la marque (plus de 1.400.000 exemplaires, soit 25% des ventes de Mazda !). Voici ce qui le différencie de son prédécesseur, dont il faut souligner qu’on ne lui a pas laissé le temps de vieillir, puisqu’il n’avait que 4 ans… (Marc Lacroix)
Le nouveau Mazda CX-5 (droite) conserve le – très réussi – style global du modèle lancé en 2012 et rafraîchi dès 2014 (gauche). La face avant et les feux s’affinent, ceux-ci sont reliés par un jonc chromé à une calandre profonde, le tout pour une apparence plus séduisante.
Constat identique à l’arrière, avec un hayon aux traits adoucis et des feux également plus fins. Comme à l’avant, le bouclier est lui aussi redessiné.
Latéralement, le creux des flancs se fait peut-être plus conventionnel et la custode de la portière arrière disparait, tandis que des chromes apparaissent aux contours des vitres en guise de rappel de ceux intégrés à la face avant. Les dimensions sont pour ainsi dire inchangées.
A l’image de l’extérieur, l’habitacle se renouvelle en douceur. L’écran de 7 pouces est désormais flottant sur le dessus de la planche de bord.
Affichage tête haute, système de lecture des panneaux ou encore régulateur adaptatif sont au programme.
Sos le capot, les blocs actuels devraient être reconduits, ce compris le diesel 2.2-150 et 175 ch.
En plus d’une direction et de suspensions revues pour plus de confort, Mazda annonce un nouveau système G-Vectoring Control, sensé ou censé limiter les mouvements de caisse latéraux.
Le Mazda CX-5 2017 sera dans les concessions japonaises dès février, mais pas avant l’été chez nous.