Sam Dejonghe et Denis Dupont: «Trois podiums en cinq courses»

Circuit Circuit en Belgique Vincent Marique

Après un début de saison délicat, Sam Dejonghe et Denis Dupont ont retrouvé le goût du champagne alors que le TCR Benelux passait par Zolder. Avec trois podiums en cinq courses, la SEAT Leon aux couleurs du RACB National Team a démontré que le travail mené conjointement par les pilotes et l’équipe WRT porte ses fruits.

 

En foulant le bitume du paddock limbourgeois, Denis Dupont et Sam Dejonghe s’étaient promis de marquer le coup. Ce que les représentants du RACB National Team ont parfaitement réussi au cours d’un week-end fructueux en gros points.

«Dès les essais, nous avons compris que les réglages allaient dans le bon sens», raconte Denis Dupont. «Dans la course longue programmée samedi, notre SEAT a pu jouer un rôle en vue. Certes, nous ne pouvons pas encore nous mêler à la bagarre pour la victoire mais nous sommes dans le coup pour les accessits.»

Une forme confirmée par les performances de la Leon lors des sprints dominicaux.

«Dans les courses 1 et 2 programmées ce dimanche matin, j’ai respectivement terminé 3e et 4e», explique Sam Dejonghe. «Au départ du premier round, j’ai très vite gagné une place que j’ai pu préserver jusqu’au drapeau à damier. Dans la seconde épreuve, en revanche, j’ai échoué au pied du podium. Impossible de prendre l’avantage sur la voiture devant moi.»

L’après-midi, Denis Dupont assurait sa part de spectacle. En particulier dans le sprint 3.

«Cette 2e place démontre que la collaboration avec les techniciens de l’équipe WRT est fructueuse. Nous avons trouvé un ‘petit truc’ qui nous aide à progresser dans la hiérarchie. A nous de poursuivre dans cette voie. Le seul bémol du week-end, c’est mon abandon dans la dernière course alors que j’occupais la 3e position. C’était bien parti pour grimper pour la 4e fois en cinq épreuves sur le podium mais une fuite d’eau a fait monter la température du moteur. Il valait mieux en rester là. De toute façon, nous avons marqué le coup comme nous l’espérions: c’est l’essentiel.»