Pour la cinquantaine d’équipages au départ du Marathon de la Route 2019, l’attente a pris fin ce samedi 8 juin, jour du grand départ et d’une première étape plutôt solide. Dès 8 heures du matin, les voitures ont en effet quitté les trois villes de pré-départ, soit Spa, Reims et Beaune, pour gagner Nancy, où le départ officiel était donné sur le coup de 15 heures dans un décor très agréable, en l’occurrence le Parc de la Pépinière, à proximité de la célèbre Place Stanislas.
« Il convient de souligner la qualité de l’accueil que nous avons reçu à Nancy, commente Jean-François Devillers, responsable de la société Trajectoire organisatrice de l’événement. Le parc dans lequel nous nous sommes retrouvés n’avait plus accueilli d’événement ‘moteur’ depuis une vingtaine d’années, ce qui démontre la confiance dont les autorités de Nancy nous ont gratifiés. Je tiens tout particulièrement à remercier les services techniques de la ville pour leur investissement. »
Cinq tests de régularité (RT) figuraient au menu de la première partie de cette étape initiale, avant une pause dîner dans la station de… La Planche des Belles Filles, sommet du massif des Vosges méridionales culminant à 1148 mètres, en région Bourgogne-Franche-Comté ! Après avoir soufflé et s’être restaurés, les équipages allaient repartir en direction de Besançon, première ville étape, qu’ils devaient atteindre au bout d’une boucle de nuit riche de quatre RT supplémentaires.
Au moment de la pause dîner, le classement plaidait en faveur d’Yves Noelanders et Renaud Herman (Volvo PV544), qui menaient la danse devant Yves et Benoît Deflandre (Porsche 911), Johnny Delhez et Robert Vandevorst (Ford Escort MK1), Michel Decremer et Yannick Albert (Opel Ascona), mais aussi Andrew et Sarah Mallagh (Porsche 911). Des résultats qui restent bien sûr provisoires et officieux.
Rendez-vous demain soir pour un nouveau point de la situation au terme de la deuxième étape, qui mènera les concurrents du Marathon de la Route 2019 de Besançon à Grenoble.